Axeome | Épisode 1 | Intro à l'IA pour les startups
- Axeo
- 25 févr.
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 7 mars
Pour le premier épisode d'Axeome, Michael et Eric discutent des avantages d'utiliser les outils d'IA pour les startups et à quoi on peut s'attendre au cours des prochaines années sur leurs intégrations.
Vous pouvez aussi lire notre article de blogue complémentaire à ce balado qui détaille plusieurs outils d'IA disponibles sur le marché ainsi que certaines limites pour les entrepreneurs.
Transcription
Michael Anthony-Clement
Salut tout le monde. Mike ici avec le premier épisode d'Axeome de l'incubateur-accélérateur Axeo. Puis, j'ai avec moi Eric Chocron qui est un des membres de notre équipe, directeur des programmes. Puis aujourd'hui, on va parler vraiment d'outils «AI» qu'on peut utiliser en tant que fondateur pour accélérer le prototypage et la validation de nos startups. Donc sur ce, on se lance. Eric, t'as-tu des commentaires juste de même sur l'utilisation du «AI» puis comment ça va être important?
Eric Chocron
Bien dans le fond, pour contextualiser qu'est-ce qui se passe dans le passé et qu'est-ce que l'«AI» vient, en fait, améliorer, je te dirais, ça serait une bonne chose à faire. Contextuellement, là, un entrepreneur, pour prototyper, il peut lui-même aller chercher un cofondateur qui est technique pour que cette personne puisse coder, faire le prototype. Mais on s'entend que ça prend énormément de temps, faire ça. Dans le passé, c'était comme ça. Il peut chercher aussi une firme avec lui qui peut lui charger ou qui pourrait être en part subventionné pour la startup, pour développer un prototype, s'il y avait un aspect assez innovateur ou drastique qui changerait, en fait, un domaine ou une industrie. Et il peut aussi «offshorer» en français...
Michael
En anglais.
Eric
Ouais. [Rires] On dirait, en fait, employer des gens à l'extérieur du pays pour l'aider à des coûts moindres. Mais encore une fois, toute cette PI qu'il développe, ça serait à l'extérieur du Canada, qui lui reviendrait en partie en licenciement [sic]. Et aussi, il va y avoir des délais assez longs. Ce qui nous amène aujourd'hui, en fait, en 2025, on parle des outils «AI». Là, ça a comme super... ça donne des superpouvoirs, en fait, aux entrepreneurs dans l'étape de prototypage et l'étape de vouloir mettre en place, en fait, un MVP, un premier démo, une première façon de faire. Et je pense que toi-même, Michael, t'as eu la chance de jouer avec un outil.
On parle toujours de ChatGPT dans le passé, ou dans le présent, qui peut nous aider à coder si on ne connait pas le code. Il y a aussi Copilot de Microsoft qui est aussi basé aussi sur les mêmes principes que OpenAI. En fait, c'est la même compagnie derrière qui gère. Donc on peut coder les applications de Microsoft avec Copilot. On peut coder des applications générales avec ChatGPT.
Mais aujourd'hui, Mike, plutôt, toi tu nous parles de quelque chose d'autre, puis je veux t'entendre dire toi, ta vision, ta perception d'un nouvel outil que tu as eu la chance d'utiliser la semaine dernière et les semaines auparavant. Fait que, vas-y, lance-toi, puis moi je vais lancer des commentaires là-dessus.
Michael
Ouais, c'est parfait. Puis justement, je voulais comme... J'ai vu passer Replit. Replit, c'est un outil qui sort des États-Unis. Puis c'est quelqu'un que je suis sur X, sur Twitter, anciennement Twitter, qui a dit : «Wow, ça, ça va changer le jeu pour développer des startups, ça va accélérer le développement, ça va réduire les coûts.» Puis je me suis dit, bien, je veux le toucher avec mes mains, je veux l'essayer avant de me prononcer là-dessus. Puis ce que je me suis donné comme objectif, c'est... Je me suis abonné à l'application Replit, puis c'est vraiment incroyable.
C'est comme une application mobile bien normale. Et ça dit : «Qu'est ce que tu veux bâtir, Eric?» Puis c'est comme, bien, je veux bâtir une application qui peut m'aider à gérer mes programmes d'incubation, puis je pense que ça devrait avoir tel, tel, tel «feature». Je l'écris en texte normal, peu importe la langue. Ensuite, ça commence à le bâtir. Mais c'est pas juste une question de données comme le code que toi tu vas ensuite... Comme dans ChatGPT, ça va te donner un morceau de code, puis ça va dire «insère ça dans ton projet». Non, non, Replit va bâtir le projet de A à Z. Le «backend», ça va ouvrir des serveurs, ça va ouvrir des bases de données, ça va commencer à faire le «frontend». Puis là, ça va dire : «Bien, OK, la version 1 est prête. Veux-tu aller revoir et me dire qu'est ce que tu en penses?»
Puis inévitablement, il y a des bogues, il y a des... tu sais, des choses qui ne marchent pas. Mais ce qui m'a surpris avec Replit, c'est que je disais : «Bien non, ça ne fonctionne pas, il y a un bogue, change-le.» Puis peut-être que ça prenait deux, trois, quatre fois, mais éventuellement les bogues étaient réglés. Puis là, on passait à une autre version. Là c'est comme OK, on veut ajouter un autre «feature», on veut connecter des coachs avec des startups. Parfait. Là, on commençait un autre cycle de création, puis de «debugging». Puis encore une fois, après trois à quatre essais, on avait une version qui fonctionnait avec un calendrier. Là, je pouvais cliquer le bouton, je pouvais me connecter avec un coach.
C'était vraiment... Tu sais, on parle souvent, en utilisant certaines technologies, comme il y a un «AHA moment». J'ai eu un AHA en utilisant Replit, parce que je me suis dit : en tant que fondateur de startup non technique, je plus du côté «business marketing», ça, ça me donne des superpouvoirs. Là, je n'ai plus besoin de dépendre nécessairement sur un cofondateur technique ou, comme tu dis, «offshore» aux Philippines ou au Vietnam.
Ça peut me permettre de bâtir pour... Si j'estime, tu sais, nous, on a déjà fait des projets ensemble, mais je pense que ça va réduire le coût de cent... dix à cent fois facilement. Puis le temps d'itération, probablement, dix fois plus vite, parce que tu peux le faire «on the fly». Là, j'ai pas testé plus que quelques heures, donc évidemment j'ai pas validé l'étendue de, comme, bâtir un projet de vraiment A à Z. J'ai peut-être fait de A, B, C. J'ai implanté [sic] quelques «features» qui semblent corrects, mais ça me montre que ça va être... si c'est pas possible tout de suite, ça va être possible très bientôt de faire une application de A à Z sans avoir de compétences techniques.
Eric
Si je peux te demander une question, comparé aux outils «no code» qui sont existants... Parce que, ça, c'est un oubli de ma part quand je parlais des outils qui sont disponibles aux entrepreneurs. Nous, on a promu en fait beaucoup les outils «no code» à nos entrepreneurs, Mike, que ça soit du Notion, du Airtable ou du Bubble pour qu'ils créent leur premier MVP, ou du Figma pour créer leur première façon de voir comment est-ce qu'un «user story», un «user journey» irait à travers une application. Si je compare ça à des outils «no code», est-ce que Replit, ou les applications comme Replit, est une meilleure capacité pour les entrepreneurs? Ou est-ce que c'est la même chose? Est-ce que ça me sauve du temps?
Michael
C'est une bonne question. Je pense qu'au final, il faut évaluer quels sont les besoins que t'essaies de... quels sont les besoins du marché. Parce qu'on s'entend que, si on revient au début, quand on se lance, qu'on quand on veut valider une startup, ça commence avec le marché puis le problème. Donc, la vraie question qu'on devrait se poser en tant que fondateur, c'est : c'est quoi le meilleur outil que je peux utiliser pour résoudre le problème pour le moindre coût, juste pour valider si je m'en vais dans la bonne direction?
Il y a peut être des réponses qui sont : oui, Replit, c'est plus apte, parce qu'on a besoin d'une fonctionnalité un peu plus nuancée que Replit pourrait développer. Ça prend vraiment du codage «custom». Si c'est quelque chose d'un peu plus générique, peut-être que des outils «no code» comme Bubble, ou t'as mentionné Notion, pourraient faire la job. Donc ça revient au besoin, ça revient à tout ça. Un outil, une technologie, c'est juste un outil. Puis on devrait être content de l'utiliser, peu importe l'outil qui va résoudre le problème qu'on essaie de résoudre pour un marché.
Eric
Bien dit. Si je pense à l'entrepreneur seul ou qui n'a pas nécessairement de cofondateur, technique ou non technique, Mike. Est-ce que tu penses que c'est une bonne idée pour lui de tout faire de A à Z? Tu sais, de faire la conceptualisation, la vision, la perception, la valeur ajoutée de son projet, incluant la... les sondages et après, d'aller derrière la scène, d'aller mettre ça sur un Replit? Ou est-ce que tu penses que tout seul, encore une fois, même si ça te donne des superpouvoirs, ça commence à en faire beaucoup pour toi?
Michael
Oui. C'est une très bonne question. Puis cette question-là va revenir souvent. Je pense que c'est Sam Altman, le fondateur de OpenAi, qui a dit : «On va bientôt voir l'émergence des premières startups à valeur d'un milliard qui sont bâties par une personne.» Puis ça, c'est comme, wow, ça, c'est énormément de «leverage» que tu peux générer avec les outils existants.
J'ai dit ça lors d'une présentation hier à des étudiants au cégep. J'ai dit : essaie d'aller le plus loin possible avec le moins de ressources. Ça, ça pourrait aussi dire... Ça peut aussi dire, comme, fais-le seul le plus longtemps que tu peux. Puis la simple raison pour ça, c'est si tu peux maintenant, comme marketeur, développer un aspect, comme une compétence technique avec Replit ou un outil comme ça, ton «feedback loop» d'apprentissage va être tellement «tight». C'est-à-dire, tu vas pouvoir parler au marché, prendre les informations essentielles, les appliquer tout de suite dans le produit, faire quelques itérations avec Replit, retourner au marché, pas deux jours plus tard, deux semaines plus tard. Deux heures plus tard. «Hé, merci encore, merci pour ta patience, j'ai une nouvelle version.» «Hein?»
Puis ça, un entrepreneur qui va pouvoir faire ça va avoir un méga avantage. Aussitôt que tu rentres d'autres personnes dans ton équipe, tu complexifies l'affaire. Puis ça, ça peut être une façon de le voir. Mais tu augmentes aussi la capacité de l'équipe globale à faire plus. Puis je sais que, toi, tu penses probablement dans ce sens-là.
En d'autres mots, je vois des avantages puis des inconvénients des deux côtés. Mais généralement parlant, avec ces nouveaux outils, je veux dire comme... j'ai l'instinct de dire : va le plus loin possible avec ces outils-là dans la validation pour garder les coûts bas, mais aussi l'apprentissage le plus rapide possible.
Eric
J'apprécie, en fait, le commentaire. Puis oui, moi, je vais plutôt du côté équipe ou au minimum trouver un cofondateur pour t'aider dans ton «path» de découverte et de construction du MVP, là, en fait, de prototype. Mais j'allais dire, en fait, assez fou. La semaine dernière, j'ai vu d'un influenceur que toi et moi on connait sur LinkedIn, Greg Isenberg, qui a posté en fait un «repost» sur LinkedIn qui parlait d'un job où ce qu'ils demandaient un rôle à compléter pour un IA. Enfin, pour un «AI». Puis il a dit, ah... Lui, il a dit : «On était proche de voir ça, mais là, c'est la première fois que je vois ça.» Puis il l'a posté en disant : «Regardez, le poste s'applique seulement aux agents IA et sert à combler l'agent IA. Et ça dit : si vous êtes humain, n'appliquez pas à ce poste. C'est que pour les agents IA, pour combler.» En fait, c'était...
Michael
Il y a des préjugés, là. Il y a des préjugés.
Eric
C'est ça. [Rires] Mais est ce que j'allais dire, c'est que ça va dans la même réplique que : est-ce que ton cofondateur peut être l'IA, en fait, tu sais?
Michael
Très, très. Écoute, moi, je pense qu'on s'en va exactement là, puis ça ne va pas prendre aussi longtemps qu'on pense. J'essaie de m'informer...
Eric
Mais dans la logique de Replit, je trouve que... Tu m'as montré un peu des «screenshots» et comment ça fonctionnait. Ça ressemblait beaucoup à un agent ChatGPT. Mais si ton cofondateur était un agent IA, il va te poser les bonnes questions en continu et non à chaque fois : qu'est ce que tu veux construire aujourd'hui, ou oublier un peu ce qui s'est passé dans le passé, dans la conversation.
Michael
Non, exact. Replit, c'est comme ça. C'est comme : «Hé, j'ai implanté [sic] les choses que tu m'as demandées. Qu'est-ce que tu veux bâtir ensuite?» Et puis même, je pense que je pourrais demander des suggestions, puis elle va me donner des bonnes suggestions, parce qu'elle va comprendre le contexte de l'application que je bâtis, parce que je lui ai donné ce contexte-là. Donc effectivement, je pense qu'on s'en va vers un monde ou qu'on va devoir s'habituer à collaborer avec des agents IA qui sont des cofondateurs, des collègues...
Eric
Des employés, des collègues.
Michael
Des employés. Puis je pense pas que ça va prendre si longtemps, Eric. J'essaie de rester à l'affût des tendances. Moi, je pense qu'on est à deux à trois ans où que ça devient assez commun. Comme, on va entendre une histoire, puis on va dire, ah oui, c'est un autre employé.
Eric
Question pour toi que tu penses qu'il va arriver dans le futur pour aider les entrepreneurs. Est-ce que c'est Replit et les applications comme Replit qui prennent le dessus? Ou — puis là, voici mon «insight» que je vois qui arrive là, vraiment proche — c'est les agents IA de chacune de ces plateformes-là qui sont des employés de ta compagnie?
Dans ce que je veux dire, c'est qu'on va dire tu utilises la plateforme Notion déjà pour ton «backend», mais pourquoi l'agent IA de Notion prend pas tous les bogues, prend pas tout ça puis le fait pour vous? Ça devient un agent actif. Toi, tu le payes par mois. Au lieu de le payer comme un employé, tu le paies, je ne sais pas, un peu moins parce que c'est un robot, mais tu vas le payer. C'est ton collègue.
Tu dis : «Voici un bogue qu'un client a mentionné.» Tu l'envoies à l'agent Notion et l'agent Notion règle le bogue. Et dans cette même réalité, encore plus loin : pourquoi est-ce que c'est pas un agent Slack, où est-ce que tu as déjà ton «channel» de bogues ou un agent «helpdesk» qui devient un agent actif sur tes plateformes qui va le dire à l'agent de Notion? Fait que l'agent Slack parle à l'agent Notion. L'agent Slack parle à l'agent «helpdesk», puis il n'y a plus d'humain qui ne fait rien, en fait. [Rires]
Michael
Ça ne me surprendrait pas, Eric. C'est juste évident, tu sais. Puis la raison est très simple. Un collègue IA va être plus performant et beaucoup moins coûteux, va faire beaucoup moins d'erreurs, va pas avoir besoin de dormir, pas besoin de prendre de vacances. Puis tu sais, ça coûte juste de l'électricité au final, «right»?
Eric
Bien, du «computing power». C'est du «computing power». Ça coûte la carte, tu sais, la carte graphique derrière le...
Michael
Oui. Mais ça, ça va être amorti, ça va être amorti sur plusieurs années puis plusieurs utilisations. Mais au final, le «input» principal, ça va être l'électricité. En d'autres mots, j'essaie juste de dire que ça va être tellement pas dispendieux que ton collègue va être payé... Toi, tu vas être payé 100 000 par année, ton collègue IA va être payé... 47 $ par année.
Eric
Mais, en fait, on niaise, mais... Puis on n'est pas encore rendus là, mais ChatGPT a un volet agent automatisé où ce que ça coûte 200 $ par entreprise ou par personne qui veut s'abonner. Et j'ai vu, en fait, j'ai entendu des «podcasts» sur The Verge et d'autres «podcasts» électroniques [sic] qui disent qu'ils l'ont utilisé. Il est très, très lent.
Mais juste pour te donner une idée, quand tu l'utilises... Par exemple, ils ont dit : «book»-moi un avion, un avion pour aller de Los Angeles à la Floride, on va dire, ou à New York. Fait que là, il ouvre une fenêtre sur ton ordi et là, tu la vois, tu le vois, en fait, cliquer sur les choses pour faire ce que, toi, tu lui demandes de faire. Mais on s'entend que, un, c'est pas rendu... la vitesse n'était pas super bonne, encore aujourd'hui en 2025. Deuxièmement, ça coûte 200 $ par mois pour un individu qui utilise cet agent-là. Troisièmement, il n'allait pas chercher le meilleur «deal», il n'allait pas chercher le meilleur temps. Fait que l'intelligence humaine n'était pas encore adaptée. Mais oui, deux, trois ans.
Michael
Facile.
Eric
Ou quatre, cinq. Facilement. Je le vois faire, je le vois aller. Et facilement, je le vois remplacer ton cofondateur, ton employé. Puis les entrepreneurs vont être encore meilleurs prix [sic]. Maintenant, est-ce que ça va remplacer l'entrepreneur? Question philosophique. [Rires]
Michael
OK, bien, je pense qu'on a le temps pour faire comme peut-être une dernière réflexion là-dessus sur ce que tu viens de dire. Puis je vais te dire : c'est pas juste qu'on va être remplacés, mais on va être amplifiés par les IA. C'est-à-dire, toi en tant que personne créative avec une vision du futur, ça va être amplifié, puis ça va augmenter les chances que tu vas avoir, que tu vas atteindre tes objectifs. Si je reviens au sujet principal de cette capsule...
Eric
Les outils.
Michael
Les entrepreneurs qui utilisent ces outils-là vont être capables de bâtir des startups pour moins cher et plus rapidement. Puis, je vous rappelle que la plupart des startups ne meurent pas à cause de la compétition. En fait, ils vont mourir à cause qu'ils n'arrivent pas à trouver le «product-market fit» avant...
Eric
Ça, c'est numéro un, en passant. Ça, c'est le numéro un.
Michael
C'est numéro un. Avant de soit perdre de l'espoir ou juste plus avoir d'argent pour financer l'affaire. Donc, puis souvent, c'est vraiment juste une question de perdre de l'espoir, parce que tu peux toujours essayer de continuer puis de pivoter. Aussitôt que tu perds de l'espoir, c'est fini. Donc si on peut réduire les coûts de développer, réduire le temps de valider dans le marché, ça augmente les chances de réussite d'une startup qui développe du «software».
Eric
Bien dit. On peut le laisser comme ça, en fait. Merci à tous et toutes de nous avoir écoutés aujourd'hui. Premier «podcast» du nouvel incubateur de l'Outaouais, Axeo. Content d'être avec toi, Mike, comme toujours.
Michael
«Yes sir.» On va faire ça à chaque semaine, au moins. Puis on va parler de plein de sujets qui vont importer les entrepreneurs [sic], des nouveaux outils, des nouvelles tendances, comment mieux bâtir une startup. Ça, c'est le focus [sic] d'Axeome. Merci à tous.
Eric
Au revoir.
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